Le 3 décembre nous avons parcouru 134 miles sur 24 heures. Il fait très chaud : plus de 30° dans le bateau et certainement 35 à 38° à l’extérieur. Le vent souffle entre 12 et 13 nœuds et nous filons à une vitesse de 7 nœuds sous genaker.
Le 4 décembre ; nous avons parcouru 140 miles ; après une nuit calme et une matinée très chaude, notre barre à roue force énormément et nous comprenons très vite que nous avons un problème de safran. Celui-ci ne tient plus en position basse et rend la barre très dure ; le pilote automatique décroche.
Notre équipier plonge pour confirmer cette panne mais la houle de 1,50 mètre ne nous permet pas d’intervenir. Nous réduisons donc la voile au maximum (2 ris dans la GV) et marchons à une allure réduite.
Après une nuit de réflexion et d’angoisse, étudions la possibilité de réparer avec une sangle et une garcette pour éviter la remontée du safran.
Nous avons informé l’organisation du rallye de nos problèmes ainsi que le chantier Alubat qui nous indique plusieurs possibilités sachant que nous avons une fuite vraisemblable sur le vérin immergé.
Ils nous proposent de « vérifier le liquide » ce qui est bien sur la première chose que nous avons faite… « de coincer une cale de bois pour éviter la remontée du safran » (impossible à réaliser) « de percer l’ensemble des 3 pièces avec une chignole à main et de boulonner en position basse ». Nous sommes à 1200 miles de notre but ; il va de soi que cette proposition est irréalisable ; d’autre part nous n’avons pas de chignole. Entre 10 et 11 heures Nicolas plonge et pose la sangle bridée par l’avant. Ca marche. Est-ce que ça va tenir ?
L’après midi première averse et orage ; ça fait du bien mais nous sommes dans l’entrée du « pot au noir ». Le vent est de 5 à 6 nœuds un peu dans tous les sens, il fait très chaud et très humide. Merci à tous ceux de nos amis autour de nous qui sont au courant de notre panne par l’intermédiaire de la BLU notamment CIGALE qui n’est pas loin et propose de nous aider si problème.
Le 5 décembre nous avons parcouru 144 miles ces dernières 24 heures ; nous sommes en plein dans la ZIC, le ciel est noir et orageux ; naviguons au moteur. Le moral est meilleur car la réparation tient bon.
Le 4 décembre ; nous avons parcouru 140 miles ; après une nuit calme et une matinée très chaude, notre barre à roue force énormément et nous comprenons très vite que nous avons un problème de safran. Celui-ci ne tient plus en position basse et rend la barre très dure ; le pilote automatique décroche.
Notre équipier plonge pour confirmer cette panne mais la houle de 1,50 mètre ne nous permet pas d’intervenir. Nous réduisons donc la voile au maximum (2 ris dans la GV) et marchons à une allure réduite.
Après une nuit de réflexion et d’angoisse, étudions la possibilité de réparer avec une sangle et une garcette pour éviter la remontée du safran.
Nous avons informé l’organisation du rallye de nos problèmes ainsi que le chantier Alubat qui nous indique plusieurs possibilités sachant que nous avons une fuite vraisemblable sur le vérin immergé.
Ils nous proposent de « vérifier le liquide » ce qui est bien sur la première chose que nous avons faite… « de coincer une cale de bois pour éviter la remontée du safran » (impossible à réaliser) « de percer l’ensemble des 3 pièces avec une chignole à main et de boulonner en position basse ». Nous sommes à 1200 miles de notre but ; il va de soi que cette proposition est irréalisable ; d’autre part nous n’avons pas de chignole. Entre 10 et 11 heures Nicolas plonge et pose la sangle bridée par l’avant. Ca marche. Est-ce que ça va tenir ?
L’après midi première averse et orage ; ça fait du bien mais nous sommes dans l’entrée du « pot au noir ». Le vent est de 5 à 6 nœuds un peu dans tous les sens, il fait très chaud et très humide. Merci à tous ceux de nos amis autour de nous qui sont au courant de notre panne par l’intermédiaire de la BLU notamment CIGALE qui n’est pas loin et propose de nous aider si problème.
Le 5 décembre nous avons parcouru 144 miles ces dernières 24 heures ; nous sommes en plein dans la ZIC, le ciel est noir et orageux ; naviguons au moteur. Le moral est meilleur car la réparation tient bon.
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