Constatons une petite avarie : une goupille du vit de mulet est sectionnée, réparation sur le champ. A 22 heures rentrons le spi après quelques petites rafales ; et repartons genois GV au grand largue. Nous passons la nuit avec un groupe de dauphins qui nous suit de 22 heures jusqu’au petit matin ; ils nous sifflent comme pour nous guider le long de ces grands bancs de sable au niveau du passage du banc d’Arguin (dune de sable dans la mer).
Au petit matin nous marchons à 6 – 7 nœuds avec un ris GV un ris genois. Des copains nous passent régulièrement des SMS sur notre iridium ; cela nous encourage. Nous sommes dans les alisés…
Le 1er novembre, le bateau est tout orange de poussière provenant du désert mauritanien. La houle est maintenant de près de 3 mètres et le bateau fait une pointe à 9,5 nœuds. L’après midi nous constatons que la drisse de genaker est complètement hors d’usage, usée par un frottement à l’intérieur du mât. Il faudra y remédier. Nous tangonons le génois d’un côté et Grand voile de l’autre. Nous avançons pratiquement à la vitesse du vent : 6 – 7 nœuds.
Au petit matin nous marchons à 6 – 7 nœuds avec un ris GV un ris genois. Des copains nous passent régulièrement des SMS sur notre iridium ; cela nous encourage. Nous sommes dans les alisés…
Le 1er novembre, le bateau est tout orange de poussière provenant du désert mauritanien. La houle est maintenant de près de 3 mètres et le bateau fait une pointe à 9,5 nœuds. L’après midi nous constatons que la drisse de genaker est complètement hors d’usage, usée par un frottement à l’intérieur du mât. Il faudra y remédier. Nous tangonons le génois d’un côté et Grand voile de l’autre. Nous avançons pratiquement à la vitesse du vent : 6 – 7 nœuds.
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