Les 15 et 16 septembre : 30 heures de navigation 170 miles.
Nous passons dans une zone de convergence d’un vent froid de nord et d’une remontée chaude de sud ce qui crée des orages.
Le radar, heureusement, nous détecte parfaitement les zones orageuses, quelquefois à seulement 2 miles ce qui nous permet de les éviter. Nous sommes environnés de gros nuages et d’éclairs.
Il n’y a pas vraiment de risque car le bateau est une cade de Faraday mais un orage peut provoquer des dommages sur l’électronique.
Au petit matin du 16, nous apercevons derrière nous des colonnes d’eau en tornade qui montent dans le ciel, seulement à 5 ou 6 miles. Ouf nous les avons évités.
Un autre bateau français navigant près de nous nous dira plus tard qu’il a endommagé ses voiles et cassé une latte dans une bourrasque à 30 nœuds.
Quant à nous, nous naviguions sous voile réduire : 1 ou 2 ris dans la GV et sous trinquette.
Nous passons dans une zone de convergence d’un vent froid de nord et d’une remontée chaude de sud ce qui crée des orages.
Le radar, heureusement, nous détecte parfaitement les zones orageuses, quelquefois à seulement 2 miles ce qui nous permet de les éviter. Nous sommes environnés de gros nuages et d’éclairs.
Il n’y a pas vraiment de risque car le bateau est une cade de Faraday mais un orage peut provoquer des dommages sur l’électronique.
Au petit matin du 16, nous apercevons derrière nous des colonnes d’eau en tornade qui montent dans le ciel, seulement à 5 ou 6 miles. Ouf nous les avons évités.
Un autre bateau français navigant près de nous nous dira plus tard qu’il a endommagé ses voiles et cassé une latte dans une bourrasque à 30 nœuds.
Quant à nous, nous naviguions sous voile réduire : 1 ou 2 ris dans la GV et sous trinquette.
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