mercredi 7 mars 2012
Nous passerons quelques jours avec Marylène et Coco et en profitons pour visiter une partie de la Martinique, exemple la rhumerie CLEMENT. Coco connaît bien la Martinique et nous sera un précieux guide.
Nous recevrons aussi un groupe d’amis des environs de Champdeniers et ailleurs et leur ferons faire une petite nav tour à tour entre le mouillage de Sainte Anne et les anses d’Arlet qui pour certains sera une première navigation sous voile.
Le soir nous nous retrouvons même à 10 à diner sur MALIKA… Ti punch de rigueur bien sur. Et baignade à gogo pour les visages pâles
Nous recevrons aussi un groupe d’amis des environs de Champdeniers et ailleurs et leur ferons faire une petite nav tour à tour entre le mouillage de Sainte Anne et les anses d’Arlet qui pour certains sera une première navigation sous voile.
Le soir nous nous retrouvons même à 10 à diner sur MALIKA… Ti punch de rigueur bien sur. Et baignade à gogo pour les visages pâles
Le rocher du diamant : ce petit ilot de forme tronconique aux falaises abruptes a connu la célébrité suite à un épisode héroïque de la guerre franco anglaise du début du XIX° siècle. Voulant maîtriser l’accès maritime de la Martinique les anglais y installèrent en 1804 leurs canons, pour le transformer en bastion imprenable. Pendant 17 mois, résistant à tous les assauts, ils pilonnèrent à loisir les vaisseaux français croisant vers Fort de France. Suite à cet exploit, les britanniques élevèrent cet ilot au rang de « navire de sa Royale Majesté ». Suivant la légende, les français n’eurent raison des troupes anglaises qu’en faisant échouer sur l’ile quelques embarcations chargées de fûts de rhum. Ivres mort, l’ennemi capitula sans autre violence. Cette version n’est pas retenue dans les annales britanniques… « guide Jacques Patuelli »
Au Nord, arrêt à RODNEY BAY, un très grand mouillage où nous ne nous attardons pas car nous sommes pressés d’aller en Martinique rejoindre Coco et Marylène qui arrivent.
Le 14 nous partons pour la Martinique pour une navigation de 5 heures 30, encore au près avec une forte houle dans le couloir entre les iles. Nous sommes obligés de tirer des bords à l’arrivée pour rejoindre Sainte Anne et le soir même, Coco et Marylène viennent nous rejoindre et passer quelques jours avec nous.
Sortie aller retour aux anses d’Arlet, navigation facile au portant puis un retour plus difficile contre le vent en passant entre le rocher du diamant et la cote.
Le 14 nous partons pour la Martinique pour une navigation de 5 heures 30, encore au près avec une forte houle dans le couloir entre les iles. Nous sommes obligés de tirer des bords à l’arrivée pour rejoindre Sainte Anne et le soir même, Coco et Marylène viennent nous rejoindre et passer quelques jours avec nous.
Sortie aller retour aux anses d’Arlet, navigation facile au portant puis un retour plus difficile contre le vent en passant entre le rocher du diamant et la cote.
Arrivons aux Deux pitons à SAINTE LUCIE le mouillage est complet, nous allons un peu plus loin a La Soufrière à la « bermudienne » c'est-à-dire l’arrière du bateau amarré sur la plage à un cocotier. De nombreux boys boat sont là pour nous aider et surtout nous demander une rémunération qu’il vaut mieux négocier avant.
Nous partons de Bequia en compagnie de deux autres bateaux le 10 janvier. A la sortie de Port Elisabeth les vents sont soutenus et la mer est très formée. Nous naviguons avec trinquette et 2 ris dans la grand voile.
Au passage sous le vent de l’Ile de SAINT VINCENT, nous assistons la remontée au moteur, puis de nouveau entre SAINT VINCENT et SAINTE LUCIE nous subissons des accélérations de vent et une mer formée.
Au passage sous le vent de l’Ile de SAINT VINCENT, nous assistons la remontée au moteur, puis de nouveau entre SAINT VINCENT et SAINTE LUCIE nous subissons des accélérations de vent et une mer formée.
Le 6 janvier, après avoir effectué les formalités nous partons vers UNION appartenant à SAINT VINCENT GRENADINES. Nous naviguons au près serré pour nous amarrer à Clifton Bay.
En remontant notre ancre, le guindeau se bloque. Il nous faudra quelques heures de recherche et l’intervention d’un électricien français basé à Union pour nous dépanner : un fusible du relai étant légèrement oxydé. Nous sommes obligés des rester la nuit devant Union. Nos amis DAME OUI et ALAZADO restent avec nous pour nous accompagner… sympa !
En remontant notre ancre, le guindeau se bloque. Il nous faudra quelques heures de recherche et l’intervention d’un électricien français basé à Union pour nous dépanner : un fusible du relai étant légèrement oxydé. Nous sommes obligés des rester la nuit devant Union. Nos amis DAME OUI et ALAZADO restent avec nous pour nous accompagner… sympa !
A l’intérieur de l’ile nous voyageons en taxi collectif pour moins d’un euro, nous pouvons rejoindre la ville. La population est très sympathique et souhaite communiquer. Beaucoup connaissent quelques mots de français.
Nous avons beaucoup apprécié cette escale.
Le 2 janvier 2012 nous partons de Tyrell Bay pour Sandy island un petit atoll où il ne reste plus, hélas, que quelques cocotiers après le passage d’un cyclone.
Nous avons beaucoup apprécié cette escale.
Le 2 janvier 2012 nous partons de Tyrell Bay pour Sandy island un petit atoll où il ne reste plus, hélas, que quelques cocotiers après le passage d’un cyclone.
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