Dernière nuit à LUIS CORREIA. C’est la soirée la plus pénible de tout le séjour : 35 à 40 nœuds de vent avec un courant de 3 à 4 nœuds sur des fonds instables. Malika qui avait toujours tenu jusque là sur son ancre finit par décrocher vers 18 heures. Michel est à bord, il part doucement, se dirige sur d’autres bateaux. Brigitte revient avec l’annexe de MaheSadry… Nous remontons l’ancre et, après avoir empennelé (mis une deuxième ancre sur la même chaine de mouillage) nous restons à bord par 5 à 6 mètres de fond et 50 mètres de chaine. Malgré cela le bateau bouge un peu et se stabilise vers une heure du matin.
Notre ami ENEZ MIOSA qui lui aussi a décroché s’est retrouvé près de nous. Nous ne nous quittons guère.
Nous n’avons pas pu profiter de la dernière soirée à terre. C’est bien dommage car nous avons été merveilleusement reçus par les autorités et les membres de l’état chargés du tourisme. Nous garderons un souvenir ému des interprètes notamment Liliana et Dany disponibles et chaleureuses.
Les autorités de l’Etat ont promis pour l’année prochaine des installations pour sécuriser les mouillage des bateaux (coffres de mouillage) ;
Le 19 février : départ à 7 heures pour SOURE (près de 1000 kms); Conditions de navigation assez difficiles : houle de 2 à 3 mètres travers arrière : Malika se tient bien et même encaisse bien… Nous sommes un peu secoués et apprécions moins bien. ; nous comptons passer au nord du Récife Manoel Luis (où il y a plus de 50 épaves de bateaux) Après 36 heures de navigation, appel sur la radio d un des participants proche de nous ; il a une panne majeure : pelle de safran bloquée à fond sur babord ; Nous resterons plus de 6 heures sur zone (difficilement avec voilure réduite au maximum tout en dérivant vers les recifs) Notre ami finit par réparer en déboulonnant son safran et le redescend avec sa barre à mine, et nous repartirons cap à l’Ouest pour passer cette fois au sud du Récif Manoel Luis n’étant plus en position de passer au nord. Un autre bateau reste aussi à proximité : Maupiti et nous ferons route ensuite ensemble pratiquement à vue jusqu’à l’entrée du Rio Para (delta de l’Amazone).
Notre ami ENEZ MIOSA qui lui aussi a décroché s’est retrouvé près de nous. Nous ne nous quittons guère.
Nous n’avons pas pu profiter de la dernière soirée à terre. C’est bien dommage car nous avons été merveilleusement reçus par les autorités et les membres de l’état chargés du tourisme. Nous garderons un souvenir ému des interprètes notamment Liliana et Dany disponibles et chaleureuses.
Les autorités de l’Etat ont promis pour l’année prochaine des installations pour sécuriser les mouillage des bateaux (coffres de mouillage) ;
Le 19 février : départ à 7 heures pour SOURE (près de 1000 kms); Conditions de navigation assez difficiles : houle de 2 à 3 mètres travers arrière : Malika se tient bien et même encaisse bien… Nous sommes un peu secoués et apprécions moins bien. ; nous comptons passer au nord du Récife Manoel Luis (où il y a plus de 50 épaves de bateaux) Après 36 heures de navigation, appel sur la radio d un des participants proche de nous ; il a une panne majeure : pelle de safran bloquée à fond sur babord ; Nous resterons plus de 6 heures sur zone (difficilement avec voilure réduite au maximum tout en dérivant vers les recifs) Notre ami finit par réparer en déboulonnant son safran et le redescend avec sa barre à mine, et nous repartirons cap à l’Ouest pour passer cette fois au sud du Récif Manoel Luis n’étant plus en position de passer au nord. Un autre bateau reste aussi à proximité : Maupiti et nous ferons route ensuite ensemble pratiquement à vue jusqu’à l’entrée du Rio Para (delta de l’Amazone).
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